Littérature écrite


L’histoire du francoprovençal explique pourquoi la littérature écrite dans cette langue n’est pas très abondante. En face du français, qui a joui très tôt d’un grand prestige, le francoprovençal était méprisé. Il a donc souvent été réservé aux genres littéraires considérés comme les moins nobles.
Il existe toutefois des exceptions. Ainsi on peut citer la très belle oeuvre de Marguerite d’Oingt, qui est aussi la plus ancienne oeuvre conservée en francoprovençal. 
Pour vous faire découvrir des écrits rédigés dans les Monts du Lyonnais ou des alentours, voici quelques exemples : 

Noël : meigna, meigna…, noël du XVIe siècle 
Poème d'amour du XVIe siècle
Coq à l'âne du XVIe siècle
Noël de Jean Capon, du XVIIIe siècle
Dialogo de doux homos
Hymna a la Concorda oux fifros de Mornant 
Noëls de Vaugneray
Noël de Riverie

A part l'avant-dernier, ces documents sont extraits du livre de Simone Escoffier et Anne-Marie Vurpas, Textes littéraires en dialectes lyonnais (XVI-XIXe siècle), CNRS, 1981.

Vous pouvez également lire des extraits d'auteurs voisins : 
Guillaume Roquille
(Rive-de-Gier)
Louis Mercier (Coutouvre, près de Roanne)
Jean Cotton (Caluire)